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Un peintre autodidacte se découvre dans une exposition où « apparaît un certain mystère, celui de l'homme qui se cherche. »
De son parcours antérieur, Pierre Perrin a rapporté une vocation artistique sincère. Responsable de l'action sociale et culturelle à Villiers-le-Bel, créateur d'un Centre d'art contemporain dans la région lyonnaise et directeur administratif des musées de Strasbourg, il a toujours allié l'art contemporain au social. Depuis quarante ans, des découvertes dans les musées et expositions en France ou ailleurs en Europe nourrissent sa passion artistique. A la retraite, il passe à l’appropriation personnelle. Faire de la peinture s’impose comme une évidence, un besoin. « Peindre est un acte social et dans la peinture, il y a une mise à voir aux autres. » (Anne Belchit dans le Sud-Ouest » du 23/01/2014) Formes et couleurs renvoient à « un indicible ». « La peinture est un horizon infini, on n'arrête pas de se dire, de se renouveler. C'est jubilatoire. » Il utilise l’acrylique et l’huile ainsi que divers matériaux sur des supports variés pour donner libre cours à ses idées dans des créations continuelles. A remporté un concours de peinture en 2013 dans le site « La tribu des artistes » organisé par « Canson » sur le thème de la Tribu, le jury était présidé par le peintre Vladimir Vélickovic. Peu de dessins, « … Mais une pratique à l’évidence expérimentale et intuitive de la peinture; avec toutefois, une sensibilité particulière à la lumière et à la couleur. Onirique et fluide, la figuration qui nous est proposée évoque des situations collectives mais paisibles, dont se dégage une poésie douce, peu courante au sein de la création actuelle » (Patrick Lefur dans le Magazine Artension d’Octobre 2013 dans un article de 4 pages consacré à Pierre Perrin). Il se fait connaître dans les Landes depuis quelques années en participant à diverses expositions : |
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