Le peintre s'est largement inspiré des Ecritures. Il nous montre l'ermitage de Saint-Antoine détruit par les monstres, qui assaillent maintenant le Saint. Les péchers capitaux, avec leur faces hideuses, se déchaînent. Le Démon semble triompher. Grünewald parvient, dans un langage moderne, à transmettre un message intact de le foi médiévale.