Au souffle léger d'un murmure, d'une pensée à peine formulée, à peine suggérée, retenue… Et qui vous chavire le coeur.
Comme la caresse d'un «je t'aime» qui vous emporte telle une brindille au vent qui tourbillonne et s'illumine au soleil.
Beaucoup de choses dans votre galerie, on sent la féminité, la douceur, la tendresse… On s'y attache, on s'y accroche… On navigue avec beaucoup d'émotions. Bravo Christine ! (Eh oui normalement nous devrions nous voir en Novembre en compagnie des deux tendres personnages que sont Moune et Yves)
Amicalement
Marie-Claire