Votre étonnante toile m'a inspiré le poème en décasyllabes suivant :
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Quand avec son pinceau pour seul outil
Le peintre sur sa toile jette un voile
C'est son regard qui le jardin dévoile
Lequel devient et d'Yvon et d'Elie.
Ainsi dans le paysage s'invitent
Des êtres que son inconscient invente
Voici que les bras des arbres s'agitent
Et se muent en géants qui le hantent.
L'un porte couvre-chef et pantalon
Boots aux pieds et parasol à la main.
Comme Don Quichotte face aux moulins
Il s'élance à l'assaut des verts buissons.
C'est le destin des grandes créations
Et donc de l'oeuvre d'Yvon Couchouron.
ThDG (Thierry De Greef tous droits réservés sauf en association avec «Le jardin d'Elie» d'Yvon Couchouron).
Félicitations, très belle réalisation. Sans vouloir vous donner d'ordres, à mon avis si vous pouviez travailler sur des formats plus grands, je crois
Que cela serait encore mieux, dommage ! ! Car vous êtes capable et de loin.
Excuses pour cette constatation, ne le prenez surtout pas mal.
Continuez à faire de belles choses, cela fait du bien aux yeux. Bravo.
Norac