J’adore ce jeune garçon à vélo, dans ce décor urbain très stylisé, avec cette perspective franche, parfaitement centrée, ces coloris discrets laissant la part belle aux contrastes entre le blanc et le noir. Et j’aime l’idée exprimée ici que le noir du ciel s’écoule dans un sablier géant pour se transformer en bitume, là où même le ciel ne sait pas résister aux pouvoirs bons ou mauvais de la ville.
Encore bravo Emmanuelle pour votre puissance d’expression. Amicalement, Claude