Comme un éveil inattendu à la lumière pure
La mer L’océan contradictoire des sensations à l’été Nous apprend ce que doit être la mousson La mer Dans la chaleur la sueur s’évaporait L’odeur l’odeur du cœur la vraie m’envahit La mer Il reste quelque chose du passé Qui s’en va qui revient Qui ne peut pas passer Quelque chose tu le sais qui ne passera jamais Ta fragilité résiste au temps Dans la crudité de la lumière La permanence de l’eau La stabilité des éléments La mer Comme la blessure ancienne ravivée par le sel Slm
La mer comme une certitude «comme un arbre englouti
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