Comme un espoir léger avant la fin d’un monde
La mer Le silence des embruns dans la tourmente Déchire tes tympans assourdis La mer Noyé par les battements fous de mon cœur Je m’accroche à la bouée de tes bras La mer Tu voudrais voiler la révélation Tu voudrais quitter le lieu de l’invitation La brume vient à point Te fournir une habile couverture La mer se calme en tes veines Et sa violence en tes tympans Le vacarme assourdissant du silence Te protège de la prégnance du temps La mer Comme une éclaircie inespérée dans la lumière du jour Slm
La mer comme une certitude «comme la brume»
|
|