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A Saché (Indre et Loire), si vous y venez, de passage ou en balade, vous pourrez apercevoir : Le lys dans la vallée, l’atelier d’Alexandre Calder et les champs d’osiers.
C’est là, que le hasard m’a posé en 2004. Et en 2012, l’esquisse d’une idée sur un brouillon, m’a ouvert une voie aventureuse et étrange, totalement imprévue. Puis faute de ressources deux ans plus tard, je restreins mes ambitions artistiques et plastiques à ce que je trouve dans mon débarras, du ciment et du sable. J’emprunte et j’achète à moindre coût, l’osier que l’on cultive entre Vilaine les rochers et Saché. Oui mais voilà, de lecture en expérience, je découvre que le béton est en pleine mutation. C’est une matière totalement nouvelle en lien avec l’architecture et les grands ouvrages d’art d’aujourd’hui. Alors que dans le même temps, je découvre la tradition et le travail des vanniers de Touraine et d’ailleurs. L’osier et le béton, la tradition d’une région et l’innovation mondiale, le végétal et le minéral, une antinomie opportune qui devient alors, obsession. C’est peut-être ça la modernité : Savoir conjuguer son époque avec un lieu particulier. Jyb |
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