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Hocine Belahcene vit le jour à Tiaret (la lionne en Berber) en 1983, sa vie se partagera entre plusieurs villes d'Algérie, Oran, Béjaia, Sétif, Alger et Annaba.
Ce peintre dont le don de dessin lui a été découvert très tôt, dès l'age de 3ans, par sa grand mère, pour laquelle il a dessiné une tête de cheval; c'est alors depuis qu'il n'a plus lâché ses crayons de couleurs, feutres et sa petite boite d'aquarelle, pour s'exprimer sur tout support qui se présentait à lui, de la feuille de papier en passant par les pupitres d'écoliers jusqu'aux trames de ses cahiers, au grand désespoir des ses professeurs, qui n'ont réussi à lui enlever cette fâcheuse habitude, malgré le bon élève qu'il était. En 2001 il décida d'arrêter son cursus scolaire général pour s'adonner à sa passion de l'art pictural. Il aborda beaucoup de sujets, en passant par tous les matériaux qui lui tombaient sous la main, crayon, sanguine, pastel, gouache, aquarelle, huile, acrylique… En 2005 il décida de se présenter au concours d'accès à l'école régionale Des Beaux Arts Annaba annexe Constantine; en ayant remporter le concours d'entré en major de promo, il suivit une année et demie dans cette école et c'est a l'age de 23 ans sous les remarques pertinentes de ses professeurs qui le considéraient déjà comme un artiste accomplis, qu'il décida de quitter l'école des beaux arts et de rejoindre sa famille en France, a la recherche d'un épanouissement artistique personnel. Ce jeune peintre est passionné par l'art et ses artistes, mais il essaye de s'infliger une sorte de désintéressement partiel à ce qui s'est fait et ce qui se fait, dans le but d'une quête permanente du développement personnel de son art et son style, en se tenant loin de toute influence extérieure, à la recherche de son propre sois ! Tout en gardant un grand respect et une immense admiration pour tous les acteurs de la profession, sans aucun mépris, au point de se noyer dans un dessin d'un enfant de maternelle tout en le félicitant. En recherche permanente de découverte et de création, la peinture de B. Hocine, qui représente a ses yeux un véritable exutoire, se traduit par le figuratif, l'expressionnisme, le portrait, pop art, réalisme… |
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